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mar 23 2010

Key West -> Miami ——> San Francisco

Pour voir l’album complet, cliquez ici.

Réveil à 4h du mat’ ! Pire qu’à l’armée… mais c’est pour la bonne cause : un vol nous attend à Miami à 11h10 et il faut compter que nous devons rendre la voiture (vu la facilité avec laquelle nous l’avions récupérée… :) ) et devons dans tous les cas nous présenter tôt à l’enregistrement.
4 heures et 15 minutes plus tard nous arrivons à Miami (avec une petite pause au milieu, étant le seul à conduire, ça fait long, mais il n’y avait pas trop de circulation et les routes sont relativement agréables ;) )
Nous avons rendu la voiture en seulement quelques minutes (secondes ?) et une navette nous a emmener à l’aéroport à 9h. Ce dernier est (j’ai le droit de l’utiliser à nouveau, ça fait longtemps !) ENORME. Après avoir enregistré les valises (et donc à nouveau lâché quelques billets verts) nous patientons en petit-déjeunant avant de le vol, à l’heure ;) .

Nous débarquons à Atlanta à 13h15, mais ce n’est pas notre destination (oui, ok, vous avez lu le titre, vous devez vous en douter donc !).

Une heure de transit nous laisse le temps d’aller manger un petit quelque chose, Delta Airlines n’étant pas Air France… à part 2 bretzels qui se battent en duel, pas grand chose à se mettre sous la dent et, qui plus est, ils ne prennent que la carte bleue.

Durant le vol un local m’expliquent quelques petites choses à voir absolument dans les environs. Son accent est réellement à couper au couteau ! Déstabilisant ! Nous arrivons malgré tout à nous comprendre, mais imaginez un paysan de la Creuse (ou d’ailleurs… mais incompréhensible), ajoutez de l’anglais à tout ça, mélangez bien… et vous aurez à peu près ce que j’ai « subi » :) . En dehors de ça le gars était super sympa ;)

A 16h35, après plus de 4400 km nous arrivons enfin à San Francisco !

Nous sommes arrivés par le BART (un train local) desservant l’aéroport et San Francisco (très étendu). Le prix du billet n’est pas excessivement élevé (pas donné non plus, 6$ pour venir de l’aéroport…), mais alors pour comprendre comment acheter son billet…. wouahou !! En gros, il faut mettre de l’argent (jusque là normal me direz-vous) dans la caisse automatique, sans choisir sa destination, on peut mettre le double si on souhaite un aller/retour, qui ne sera pas indiqué comme aller/retour sur le billet bien entendu… Une petite feuille scotchée sur la machine indique les tarfis pour aller à chaque destination, depuis chaque arrêt ! Ca en fait quelques uns… et pour le prix, c’est un système d’incrémentation/décrémentation… Faut s’y faire ! Bref, nous sommes arrivés où nous voulions au final :) .

Nous descendons à Powell Street, qui est le bas de la ligne Powell & Mason du cable car où ce dernier est « retourné »… manuellement, à l’ancienne ;) . Plutôt sympa de voir le « chauffeur » descendre et pousser la voiture sur une plateforme afin de la remettre dans le bon sens.

La première chose qui nous a marqué quand nous sommes sortis du BART ce sont les sans abris mendiant quelques dollars. On ne se sent pas forcément très à l’aise avec toutes nos affaires… En comparaison de New York où l’on n’en trouve que très rarement, c’en est presque choquant.

La rue dans laquelle nous ne trouvons est en fait celle où notre hôtel est située ! Et nous ne nous doutions pas que nous étions sur la ligne du cable car et l’une des rues particulièrement animées de San Francisco… Nous sommes allés déposés nos affaires dans notre chambre avant de resortir faire le tour du quartier. Le réceptionniste nous a annoncé, à priori très fier de ça, que nous avions une excellente chambre… donnant sur la rue. Et bien il nous faudra nous en contenter pour les quelques choses que nous aurons à passer dans cette ville.

Nous sommes donc allés faire un tour au Quartier Financier qui ne fourmille pas autant que celui de New York, ce qui n’est pas forcément plus mal. Il faut noter que la « journée de travail » était quasiment terminée, ceci expliquant peut-être cela ;) .

Une nouvelle fois cependant l’architecture des bâtiments ne manquent pas de rivaliser entre elles.

Nous sommes tombés sur un Apple Store (avec encore une fois une bien belle façade !), et dans lequel un « cours » gratuit sur l’utilisation de l’un des logiciels Apple était donné.

Un exemple à suivre (et pas forcément que pour cette marque là…) en France car cela permettrait d’ouvrir l’utilisation des ordinateurs à tout le monde et non pas qu’aux seules personnes (de plus en plus, certes !) ayant une réelle volonté de se plonger dans cet univers… et le temps ;) .

Nous sommes remontés jusqu’à Chinatown dont l’entrée est marquée par une grande porte d’inspirations chinoise (Dragon Gate).

Et puis nous sommes tranquillement retournés à l’hôtel après cette longue journée au cours de laquelle nous avons littéralement traversé le pays !

A première vue, San Francisco, à la tombée de la nuit du moins ;) , est vraiment très jolie. Nous avons hâte d’en attaquer certaines parties dès le lendemain !

Union Square Park, juste une rue au dessus de l’hôtel :

L’escalier pour monter dans notre chambre :

Il s’agit bien entendu de l’escalier de secours (ha ha ha…) d’où nous avions une assez jolie vue (les fenêtres des chambres ne s’ouvrant que de quelques centimètres, il était assez difficile d’en juger, du coup, sortie de secours ;) ).

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mar 20 2010

Miami – Everglades – Keys : la vidéo !

Avec un peu d’avance (le prochain billet photos/textes n’étant pas pour tout de suite :$), voici la seconde vidéo de notre trip, et avec même la suite de notre périple non encore conté. Et si vous voulez préserver le suspens et préférez attendre les billets avant de voir la suite, arrêtez à 5’50″ ! :)

Bon visionnage ;)
(et toujours pareil pour la qualité)


mar 19 2010

Everglades National Park

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L’arrêt à Miami Beach aura été court mais néanmoins suffisant si ce n’est pas pour faire Spring Break ;)

C’est loin d’être un coin déplaisant mais en terme de tourisme (le vrai, pas celui qui consiste à écumer les bars et à jouer au beach volley ;) ) l’endroit est relativement limité…

Nous quittons donc notre hôtel (snif…) à 8h et nous rendons dans un autre un peu plus bas (en bus je tiens à préciser ;) ) pour récupérer notre voiture de location, puisqu’à priori on ne la retire pas directement à l’agence, et cet hôtel sert donc d’intermédiaire… Enfin, c’est ce qui aurait du se passer ! On va dire que cet hôtel sert plutôt à rien, si ce n’est nous faire perdre une bonne heure…

En effet lorsque nous arrivons pour prendre la voiture, la réservation est introuvable (pré-payée bien entendu et avec les documents l’attestant). On nous demande d’autres numéros, que nous n’avons bien évidement pas comme ça sous la main… Je demande donc à vérifier mes mails sur leur ordinateur (parce que, bien entendu, ils ne savaient débloquer le wifi pour que nous y accédions depuis l’iPhone :) ). Bref, aucun numéro ne leur va, je leur demande de contacter l’agence de location directement, ce que la réceptionniste fait gentiment, me les passe pour confirmer quelques informations, etc. De leur côté tout est ok… mais toujours pas pour l’hôtel ! Au bout d’un bon moment, et ayant de la route à faire, je demande poliment s’il n’y aura pas une « vraie » agence à Miami Beach chez qui nous avions réservé et où nous pourrions nous rendre directement. Et là… Je n’arrive toujours pas à comprendre ! C’est tellement énorme que j’ai encore du mal avec ça… Vraiment surréaliste qu’elle ne nous l’ai pas dit 1h avant, ou ne soit pas déplacé elle-même, car oui, il y a bien au moins une agence à Miami Beach, et pas très très loin qui plus est… « Vous voyez les escaliers qui descendent au sous-sol ? Prenez-les et l’agence est là ». Je sais que l’histoire était un peu longue, mais je pense que celle là quand même, je pouvais pas ne pas la raconter ! « Merci pour tout madame !!!! »

Nous sommes donc descendu et 5 minutes après nous avions notre voiture ! Unbelievable ! :)

Une jolie Chevrolet Cobalt rouge (la plus petite voiture que nous pouvions louer et qui correspond, en taille, à une berline plus que correct chez nous), automatique bien entendu, et sans aucun signe (autocollants ou autre) distinctif indiquant qu’il s’agit d’une voiture de location (sinon leur contenu ne fait pas long feu nous dit-on… on veut bien les croire !).

A 10h nous prenons enfin la route direction les Everglades !

En dehors du GPS légèrement capricieux (il faut « juste » tenir appuyer sur l’écran tout le long du trajet… heureusement que j’ai un copilote :) ) et d’un peu d’appréhension de conduire aux Etats-Unis avec les quelques différences de code de la route par rapport à chez nous (enfin il faut toujours éviter les autres voitures, les passants, s’arrêter lorsque le feu est rouge… il y a quand même des choses immuables !), et le fait qu’une automatique ne se conduise pas du tout pareil qu’une boite manuelle, tout se passe bien ! Les américains sont même incroyablement calmes et cordiaux au volant. Par exemple à un carrefour lorsque 2 routes se croisent, ils aiment bien mettre 4 stop (au lieu de 2 et une voie prioritaire par exemple ! ou des feux…)., et bien là chacun passe tour à tour et personne n’essaye de s’engager si ce n’est pas à lui ! A retenir pour chez nous :) . Par contre le mythe comme quoi ils respectent les limitations de vitesse est totalement faux ! Déception :(

Bref, nous arrions à Florida City vers 11h30 où nous trouvons le Visitor Center pour prendre des renseignements sur les environs, nous mangeons rapidement et partons pour une ferme, la « Alligator Farm » pour être exact ;) . Nous avons nos vrais touristes et un tour donc en Airboat (oui ça fait mieux que « en hydroglisseur »).

C’était plutôt marrant il faut bien le reconnaître, d’autant que notre « chauffeur », ou plutôt pilote s’est amusé plusieurs fois à nous faire faire des 360 à pleine vitesse ;)

Le petit reproche (vous nous avez déjà entièrement satisfait ??), c’est le bruit ! Les casques sur la photo ce n’était pas pour décorer ;) . Ca souffle ces hélices, et je ne sais pas quelle vitesse nous atteignons sur ces engins mais au raz de l’eau ça donne un effet assez grisant.

Ensuite pour le même prix (:s) nous avons eu droit à la visite de la ferme, et nous ne nous sommes pas fait prier. Pas mal d’espèces que l’on peut trouver en Floride d’oiseaux, de reptiles et de mamifères, et un nombre impressionnant d’alligators et de crocodiles de toutes tailles et couleurs. Place aux images (après tout ce texte !).

Plusieurs spectacles ont lieu dans l’après-midi avec des serpents, des alligators, etc. Il s’agit en fait plutôt de les nourrir à chaque fois qu’un show à proprement parler ;)

Voilà pour ce billet, mais la journée n’est pas finie ;)

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