Carnet de route USA

Pour voir l’album complet, cliquez ici

[mus]http://www.deezer.com/track/626419[/mus]

7h30 : check out ! Nous quittons cette magnifique AJ

-> Metro -> LIRR -> Air Train -> Starbucks…

Je vous rassure, tout ça n’était pas pour aller au Starbucks, mais simplement pour prendre l’avion pour… suspens, aucun indice n’ayant encore été dévoilé…
.
.
.
MIAMI ! (je suis persuadé que vous n’aviez pas trouvé !)

Après une petite heure et demi d’attente (et 50$ de moins en poche (oui il faut payer 25$ pour chaque bagage que nous mettons en soute ici !)) et un peu plus de 3h de vol (c’est là où l’on se rend bien compte de la taille des USA !) nous atteignons ce nouveau petit bled perdu de Floride.

Après récupération des bagages (qui sont bien arrivées ! ) nous prenons un bus conduit par Doc Gynéco sous ecsta (on a failli regretter que les bus n’aient pas de ceinture de sécurité !) pour rejoindre l’hôtel à Miami Beach (qui est une ville elle-même et non pas un quartier de Miami). Le bus nous jette à la hauteur de la 41ème rue et nous devons rejoindre la 60ème (sur Indians Creek Dr/Collins Ave, ben oui, vous voyez non ??). Nous décidons de profiter du soleil et de remonter à pieds le long du canal qui borde cette route… Mal nous en a pris ! Les premières rues étaient relativement peu espacées, mais ensuite nous ne voyions jamais la suivante !

(Un long moment plus tard) Nous atteignons enfin l’hôtel, un vrai, pas une auberge de jeunesse ! Grande chambre, cuisine, frigo, canapé, tv, satellite, clim réversible, SALLE DE BAIN rien qu’à nous, dressing (avec tout ce qu’il faut pour repasser) ET vue sur l’océan (2ème ligne) . Le confort quoi !

Nous nous rendons ensuite vers les quartiers un peu plus vivants au sud de Miami Beach car là où nous sommes en dehors des hôtels, appartements et villas… Mais calme, et plutôt joli non ?

Le même qu'à la tv !

Nous trouvons le Visitor Center, bien entendu fermé .

En face se dresse le Holocaust Memorial, monument en mémoire des victimes de l’Holocauste durant la 2nde Guerre mondiale.

Le quartier « qui bouge » se situe encore quelques rues plus bas. Beaucoup de monde et d’animations. On essaie de nous attirer dans absolument tous les restaurants  de Lincoln Drive !

Aux Etats-Unis le revenu principal des serveurs correspond aux pourboires. Ils ne travaillent pas pour le salaire fixe, mais pour ces « tips ». Dans beaucoup de restaurants, les serveurs ne sont payés que le salaire minimum. Il est donc « conseillé » (ce n’est pas obligatoire mais vous risquez d’être mal reçu ), de laisser 15% (voire 20, si vous êtes grand seigneur ) pour le service. Et les serveurs se montrent beaucoup plus présents et aux petits soins qu’en France pour les gagner !

En cherchant le bus pour remonter à l’hôtel  (ils sont bien cachés !) nous tombons sur un gars pas tout jeune pour lui demander s’il peut nous renseigner sur le bus à prendre, ce qu’il fait avec plaisir, non sans nous avoir sorti les 2 mots de français qu’il avait encore en mémoire après avoir travaillé à Marseille il y a très (trèèèèès) longtemps . Finalement, ils ont l’air gentils les ‘ricains .

On réussi à trouver le bon bus, mais le trajet nous sera revenu très cher ! Il faut faire vraiment très attention lorsque l’on prend le bus là bas ! Aucun ticket ne vous est délivré et ensuite advienne que pourra si le chauffeur décide de vous accuser de ne pas avoir payé… Ce qui m’est arrivé (j’ai une tête de touriste c’est ça ??) ! Et comme nous n’avions plus de monnaie (car ils ne la rendent pas là bas dans les bus, et personne n’en avait (ou n’a voulu m’en faire…) parmi les autres passagers, j’ai été contraint de laisser le plus petit billet que j’avais sous peine de faire les quelques kilomètres nous séparant de l’hôtel à pieds (qui eux ont crié « Nooon, laisse tes 10$ !! ») ! Gentils les ‘ricains ? Mouais…

Enfin bref, dès notre retour à l’hôtel je me suis empressé de faire de la monnaie pour que cela ne se reproduise pas !

Miami Beach a l’air plutôt agréable mais nous n’avons encore eu le temps de n’en voir qu’une infime partie.

Et une bonne nuit de sommeil pour se calmer les esprits et repartir frais dès l’aube à l’attaque de la ville, et pourquoi pas de Dexter

Pour voir l’album complet, cliquez ici